Jeudi 8 juillet le Maire, Christian Gatard, accompagné de Murielle Riolet, Adjointe déléguée à la démocratie participative et à l’écoquartier de la Guignardière, ont retrouvé Jean-Yves Barrier, architecte-conseil du projet, pour effectuer ensemble un « diagnostic en marchant ». L’écoquartier de la Guignardière accueille depuis janvier 2020 ses premiers habitants. L’appel à projet de la tranche 2 a été lancé en début d’année. Le choix des promoteurs se fera à l’automne. Les travaux d’aménagement et notamment les espaces verts seront entièrement terminés fin 2021.
A l’occasion de cette déambulation ils ont ainsi pu observer les réalisations effectuées, analyser les points forts et ceux à revoir pour améliorer le quotidien des habitants du quartier, avec qui ils ont pu échanger en direct. Eclairage public, gestion des déchets, évolution des matériaux, circulation, transports… tous les sujets ont ainsi pu être abordés.
Les aménagements de la place centrale ont été également examinés avec l’architecte-conseil. L’objectif était de créer une unité entre les différents bâtiments qui la composent, imaginer la typologie des futurs services et commerces qui s’y implanteront (un cabinet médical est déjà ouvert in situ), ainsi que les équipements nécessaires pour permettre d’accueillir des manifestations en extérieur tel Un Dimanche au Vert, qui aura lieu le 10 octobre prochain, ou encore des marchés ponctuels. De petits réglages sont à venir pour obtenir le résultat escompté.
En traversant les espaces de rencontre entre les résidences, l’idée est venue de proposer des temps de concertation afin d’associer les habitants à la définition de leurs usages et aux éventuels mobiliers (bancs, bacs à plantation, oeuvre d’art…) à installer.
La végétalisation du quartier est un des points qui a été étudié en détail afin, là aussi, d’assurer une cohérence sur l’ensemble du quartier, de créer du lien avec le bois environnant et de définir les cahiers des charges de la troisième tranche d’aménagements qui comportera un parc urbain d’ 1,5 hectares, la création de 20 jardins familiaux et de 35 terrains constructibles en accession libre.
Le diagnostic en marchant s’inscrit dans la méthodologie de travail impulsée par la municipalité et sa volonté de mener ses projets dans la concertation directe avec les chambraisiens et les chambraisiennes concernés.